Le programme est charmant.
D’un côté on s’inquiète du comportement des enfants que l’on veut canaliser par des médicaments dès le plus jeune âge, de l’autre on veut créer des robots tueurs sans le moindre état d’âme.
Pas de contradiction entre ces deux activités: les uns déciment, les autres se soumettent. Voilà un plan diabolique bien mené.